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Liberty Valance est mort

Bastia l’automne. Un homme dit qu’un jour il a voulu raconter à sa mère et à sa grand-mère le western de John Ford L’homme qui tua Liberty Valance.

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Liberty Valance est mort

Liberty Valance est mort a été écrit à l‘invitation du festival Vidéo-Danse d’Ajaccio (2001) puis dans le cadre d’une bourse d’écriture de l’Institut Français à New-York (2002). Créé à aux Labos d’Aubervilliers en mars 2004 et joué depuis près de 300 fois (dans et hors des théâtres).

Bastia l’automne. Un homme dit qu’un jour il a voulu raconter à sa mère et à sa grand-mère le western de John Ford L’homme qui tua Liberty Valance. Il raconte qu’il en a été presque empêché par sa mère (qui se souvenait de l’avoir vu, jeune fille) et par sa grand- mère qui, rivée devant un téléviseur, commente les commentaires des journaux télévisés. Cependant, l’homme dit qu’il a tout de même pu raconter quelque chose et il joue. Il donne voix à cette mère, à cette grand-mère, à des gens qui peuplent ce film – John Wayne, James Stewart, Lee Marvin – et voici que l’Ouest américain d’hier semble nous parler de ce qui se passe ici et maintenant. N.C.

distribution & production

D’après le texte de Noël Casale, Liberty Valance est mort, in Gens de Bastia, Éditions Albiana (Ajaccio).

Accompagnement au plateau Pascal Omhovère
Interprétation Noël Casale
Lumière Marc Delamézière
Costume Anne Buguet
Souffleuse Élise Truchard

Photographie : William Klein, Enterrement de Tino Rossi, La Madeleine, Paris 1983 (avec son aimable autorisation)

Co-Production Théâtre du Commun, Ville d’Ajaccio / Soutien Les Labos d’Aubervilliers, Collectivité Territoriale de Corse, Le Minotaure, Scène de Vendôme, Théâtre des Treize Vents-Centre Dramatique National de Montpellier, Institut Français (Paris-New-York)

Co-réalisation Théâtre L’Échangeur, Bagnolet

Remerciements Alexandre Périgot, Pierre Lungheretti

Représentations

Pas de date programmée pour l'instant.